De mon prénom, France, je n’incarne rien puisque je n’aime déjà pas me vendre. Je suis encore moins française : après une enfance dans la campagne ardennaise, trois années passées en Catalogne m’ont fait perdre légèrement cet accent liégeois. Cette expérience m’a ouvert l’esprit, a éveillé ma curiosité pour le monde : de quoi faire naitre l’envie de devenir journaliste. Ce désir d’aller à la rencontre des réalités qui font ce monde et des gens qui les peuplent, s’est confirmé au long des dernières années. Un bachelier au cœur de la cité ardente ponctué d’une aventure finlandaise a terminé de me donner la bougeotte. Me voici à Bruxelles cette-fois pour concrétiser cette ambition
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