Je ne sais pas si je vis pour voyager ou si je voyage pour vivre. Ce sont sans doute mes parents qui m’ont transmis cet amour pour la découverte. Guyane, Brésil ou encore Martinique, nous sommes de véritables carolopithèques bourlingueurs. Dès que j’ai pu voler de mes propres ailes, j’ai filé vers les États-Unis ou encore le Mexique. Partir me permet de mêler nature avec culture, de vivre d’aventures. Malgré mon côté à fleur de peau et mes joues roses, j’adore l’échange. Je pose beaucoup de « pourquoi ?» et rétorque souvent par des « oui mais ». Aujourd’hui, c’est sans doute ce naturel curieux qui me pousse vers la voie du journalisme.
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