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Terre-îles, les derniers refuges

Vestiges du passé industriel, refuges pour de nombreuses espèces et plusieurs générations de Carolos, les terrils, qui ne cessent d’évoluer, sont les parfaits symboles d’une ville qui se métamorphose.

par Jeanne Eloi et Oliver Van Droogenbroeck

Héritage

S’il est facile d’oublier leur origine charbonneuse lorsqu’on se promène au milieu de leur verdure, ces anciens « crassiers » regorgent encore d’anecdotes sur l’histoire de leurs origines, l’histoire de nos racines. Jean-Pierre Coqlet, guide nature pour la ville de Charleroi, mais aussi Pierre Vandevorden et Jacques Coupez, deux citoyens vivant au pied du terril du Martinet, nous parlent de cet autre temps oublié et des souvenirs passés accumulés…

Dernier refuge

Offrant des cadres de vie agréables et variés aux espèces végétales et animales qui y prolifèrent, les terrils apportent également beaucoup d’avantages, parfois insoupçonnés, aux habitants qui se sont installés à leurs côtés.

Source de mobilisation

Le terril du Martinet, regorgeant de richesses biologiques, a autrefois fait l’objet de convoitises pour la ré-exploitation du charbon. Pierre et Jacques nous parlent de leur combat pour la défense de leur environnement mais aussi des enjeux pour son futur.

Voyage au cœur des terre-îles

Au travers de ce photo-reportage, nous avons voulu mettre en avant le calme et la beauté de ces paysages verdoyants, perdus dans la ferveur de la ville. Nous vous proposons une petite balade.

La nature reprend ses droits