« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Le comité de l'UEJB se retrouve tous les dimanches afin de faire le point sur les évènements passés, parler des projets futurs ou aborder des points de vue généraux sur l’association. Autour de la table, des jeunes de tout horizon. Leur discours est posé, tous sont sérieux mais des détails rappellent leur jeunesse et leur vigueur. Ces réunions hebdomadaires se déroulent dans le salon, aussi utilisé pour des moments de détente ou des soirées.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Kadima signifie "en avant" en hébreu, c'est le journal de l'UEJB. Un mur d'anciens numéros a été constitué dans la bibliothèque de leur QG.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Ido Daniel (au centre) est un responsable de l'ISCA (organisation des étudiants israéliens contre l'antisémitisme), il est venu à l'UEJB pour parler de l'antisémitisme et de collaboration éventuelle entre son association et les étudiants belges. Lors de cet entretien, il montre plusieurs vidéos sur le sujet. Divers événements et rencontres de cette nature sont organisés au sein du comité de l'UEJB, qui a un département spécial contre l'antisémitisme.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Le comité de l'UEJB s'est rendu à Liège pour rencontrer le cercle de philosophie de l'ULG, ayant utilisé des évocations antisémites pour une soirée de baptême. Un déplacement important pour le comité de l'UEJB.
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Par Béatrice Pitre
Un petit groupe de l'UEJB s'est réuni pour tourner le teaser du bal qu'ils organisent en novembre. Certains seront acteurs, d'autres caméramans, ou petite main. Ils improvisent dans la bonne humeur.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Tout le monde met la main à la pâte pour le tournage du teaser. Sara et Kevin joueront les rôles principaux du teaser. Ils préparent les décorations.
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Par Béatrice Pitre
Alexis et Julien sont les deux seuls non juifs de l'UEJB. Ils animent ensemble l'émission de radio Sababa sur radio Judaïca. Sababa signifie "ça va bien" en hébreu.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Les sujets abordés par l'émission Sababa sont très libres, ce qu'apprécient Alexis et Julien (ici sur la photo). Ce soir, c'est autour du street-art que les étudiants échangeront avec leurs invités.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Après l'enregistrement de l'émission de radio Sababa, l'équipe se retrouve autour d'un verre, à deux pas du studio. Dans la bonne humeur ils décompressent et se racontent leurs dernières histoires.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
François (à droite) a organisé le deuxième Shabbat étudiant. D'origine française, il trouvait important que les étudiants loin de leurs familles puissent
célébrer cette fête religieuse. Tous jouent le jeu et selon la tradition, Elsa allume les bougies du Shabbat, tâche réservée à la femme de la maison.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Le repas traditionnel du Shabbat comporte plusieurs plats: houmous, salade aux oeufs, carottes ou taboulé en entrée. Volaille, boulettes de viande et riz
en plat. Chacun a apporté quelque chose. Maxence (à gauche) n'est pas juif et est venu par curiosité, les traditions sont expliquées et partagées dans
la bonne humeur.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Yaël et Sarah sont étudiantes en médecine à l'UCL. Cela fait quelques mois qu'elle habitent Bruxelles, l'UEJB est l'occasion pour elles de rencontrer de nouvelles personnes. Un apéritif dinatoire s'improvise avant de retrouver tout le monde au bal organisé par l'UEJB. Sarah n'est pas encore tout à fait prête mais elle profite d'un moment pour discuter avec ses amies. Toutes attendent cette soirée avec impatience qui est l'occasion d' une dernière sortie avant le blocus de janvier.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Au bal, alors que les jeunes dansent et s'amusent, la sécurité est déployée dans toute la salle afin d'éviter et de prévenir tout débordement ou menace. Un dispositif qui n'affecte pas la bonne humeur générale.
« Etre en sécurité oui, mais ne pas fermer nos portes »
Par Béatrice Pitre
Des groupes s'organisent, les filles d'un côté, les garçons de l'autre. Dès le début du bal tout le monde prend possession de la piste de danse, improvisant certaines danses traditionnelles.