La France a voté, fin novembre, une proposition de loi visant à abolir les violences éducatives ordinaires. Dans l’Union européenne, la Belgique est l’un des derniers pays à ne pas avoir voté de loi similaire. Elle a d’ailleurs été condamnée à plusieurs reprises par des organes des Nations Unies et du Conseil de l’Europe. Les études sont pourtant nombreuses à démontrer les méfaits de telles pratiques dans l’éducation d’un enfant. Aujourd’hui, les voix d’associations et de parents s’élèvent pour défendre les valeurs d’une éducation sans violence. Mais pour quels avantages ?