Après la saga du moteur caché dans le vélo de la jeune Belge Femke Van Den Driessche, le cyclisme entre dans une nouvelle ère du dopage. Cela fait déjà plusieurs années qu’on le prévoyait, qu’on le soupçonnait, qu’on se l’imaginait… sans jamais démontrer son existence. Aujourd’hui, le dopage mécanique fait officiellement son apparition dans le cyclisme. La nouvelle a fait la une de tous les médias sportifs ce dimanche, mais ce n’est pas une grande surprise pour les spécialistes.
La surprise réside plutôt dans le fait que ce soit la jeune espoir belge de 19 ans, Femke Van Den Driessche, qui ait été prise en premier lieu alors qu’elle n’est qu’amateur. Il est difficile de croire que personne n’ait tenté d’utiliser un tel dispositif dans le circuit professionnel. Si les anciens tels qu’Eddy Merckx préfèrent parler d’un cas isolé, et laisser la jeune Alostoise en pâture, la question d’un procédé utilisé à plus grande échelle n’en est pas moins pertinente.
La question d’un moteur dissimulé dans le cadre d’un vélo n’est pas nouvelle. Voici un petit récapitulatif des moments les plus douteux du dopage mécanique.
=”http://www.lavenir.net/cnt/dmf20160201_00773853″ target=”_blank”>Dopage mécanique: les Van den Driessche encore pointés du doigt