La poésie est venue à Nathaniel Molamba lorsqu’il est tombé amoureux pour la première fois. Il s’est rendu compte qu’il aimait davantage écrire qu’il n’aimait sa propre amoureuse. C’est ainsi qu’il a continué à écrire, écrire, écrire et les sujets sont venus à lui, comme le fait d’être jeune ou d’être dans une « société un peu bizarre », une société où tout va très vite et où on ne prend plus le temps de s’écouter. Il a aujourd’hui lancé sa propre maison d’édition, Éditions Le Mot : Lame, qui réunit une jeunesse de Bruxelles à Paris. Pour le poète, c’est un projet qui n’aurait pas pu voir le jour sans l’aide de ses précieux amis Lucie, Melchior et Kevin.
Nathaniel se questionne énormément sur le monde qui l’entoure. Dans ses textes, le jeune homme parle de la façon dont sa génération grandit avec le 21e siècle. Il cherche à comprendre comment les gens nés dans les années 90 grandissent dans un siècle ayant plus ou moins le même âge qu’eux. Il essaie également de faire des parallèles entre la société et l’individu. Il parle aussi d’amour en s’étonnant de la rapidité brutale avec laquelle l’être humain enchaîne ses relations.
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