Il y a 32.000 ans, on retrouvait déjà des sex-toys dans les cavernes de nos ancêtres, rangés entre le silex et la hache en pierre. En 1800, on construisait des tables mécaniques à vapeur, chargées de soigner la frustration sexuelle de ces dames, alors appelée “hystérie” (dénomination quelque peu misogyne qui dérivait du mot “utérus”, tout ça, tout ça…).
Plus récemment, on a même commencé à fabriquer des modèles spéciaux pour les fétichistes des pieds, ou même pour les chiens ! Mais parallèlement à tout ça, un des bouleversements majeurs du secteur provient de sa progressive délocalisation en Chine. Celle-ci, couplée au développement du commerce en ligne, rend ces produits incroyablement accessibles, que ce soit physiquement ou financièrement. Mais est-ce vraiment pour un bien ?
Félix Francotte