Le 25 mai 2014, le PS a vu rouge. Numéro un du pays pendant plus de deux décennies, les socialistes belges ont alors rejoint l’opposition au fédéral. Une position inédite dans laquelle se sont élaborées de nouvelles stratégies, notamment en matière de communication. Il s’agissait de réagir vite, fort. Maladroitement. Le ton est monté et voilà le temps d’une communication-spectacle. Oubliée la retenue et, avec elle, le goût de la nuance. Les propos frappent comme des coups de poignard. L’hystérie devient généralisée. En pleine restructuration, la communication du Parti Socialiste interroge, interpelle. Analyse.
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